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Wheel of Fortune Story

1 janvier 2016

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ANDRIEU Mickael

n°étu : 21000649

 

Rendu pour le cours de W123AP5 - Pratiques plastiques narratives & approches critiques de Éric Villagordo

 

Année scolaire 2015/2016 - Université Paul Valéry Montpellier 3

 

Ce blog propose un récit à arborescences multiples basé sur l'aléatoire et le choix. Pour suivre l'histoire, il faudra lire le paragraphe puis faire un choix entre plusieurs possibilités, ou s'en remettre au résultat de la roue si celle-ci est affichée sur la page. En fonction du chemin parcouru, vous suivrez une version différente de la journée d'un habitant de l'upper West side de New York le 8 décembre 1980. Le schéma de l'arborescence est disponible sur un lien plus bas mais il est conseillé de ne pas le regarder avant d'avoir fait un ou plusieurs parcours afin de ne pas connaitre à l'avance les différentes possibilités.

 

Pour commencer un récit, rejoignez ce lien : ICI

Pour voir l'arborescence complète du récit, rejoignez ce lien : ICI

PS : J'ai utilisé le calendrier pour ranger mes portions de l'histoire d'une manière cohérente, l'archivage permettant de bien séparer les blocs narratifs, voir l'archivage en bas à droite de la page pour regarder plus en détail.

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1 janvier 2015

Arborescence

l'arborescence : ICI

Retour à l'acceuil : ICI

3 septembre 2011

J'ai rencontré un assassin

Lorsqu'il s'avance dans l'ombre, il comprend que l'une des deux silhouettes est un portier du Dakota Hotel se tenant debout, on reconnaît facilement la casquette caractéristique d'un rouge vif que tous les employés portent. Il attrape l'autre homme par le col de son manteau et le traîne jusqu'au trottoir, apparemment hors de lui, le poussant à s'assoir. Celui-ci s'éxécute tout en retirant son manteau et son chapeau. On entend une femme pleurer à l'intérieur de l'arche du Dakota Hotel, le portier retourne dans l'arche et semble parler avec deux personnes, puis ressort une arme à la main, qu'il pointe sur l'homme. Le portier lui crie alors "Tu sais ce que tu as fait?". Ce à quoi lui répond le jeune homme calmement, sans un haussement de ton "Oui j'ai tué John Lennon."

Maxwell se fige contre les barreaux de Central Park, réalisant à peine ce que l'homme venait de dire. Cependant, Maxwell ne pouvait s'empêcher de fixer la silhouette de l'homme assis, finissant par s'avancer vers le portier, attiré par le surréalisme de la situation. En se rapprochant, les contours de la silhouette de la personne assise se précisent et il semble tout à coup reconnaître l'homme assis lorsque des sirènes de police retentissent au coin de la rue. Une patrouille de police arrive en trombe et fonce vers l'entrée du Dakota Hotel. Un des policiers ressort de l'arche et pointe également son arme vers l'homme assis. Sous l'arche, on entend la femme pleurer et supplier d'aider son mari, sa voix ayant effectivement à son oreille un ton familier, bien qu'elle était déformée par la peur et la tristesse. On entendit alors les portes claquer et la voiture démarrer en trombe, Pendant ce temps, le second policier discute avec le portier, et me voit arriver au loin.

Maxwell ne remarque même pas qu'il est repéré et continue à s'avancer en fixant l'homme assis. Maxwell avait devant lui l'homme qui avait tiré sur John Lennon, qu'il avait par un hasard complètement impensable effectivement rencontré pour la première fois le jour même dans une librairie. Le policier l'interpelle alors, l'ordonnant de rester où il se trouve, que la situation actuelle est dangereuse, l'obligeant à partir des lieux. Maxwell s'éxécute complètement absent et sans répondre un mot. Juste avant de se retourner, il remarque dans la main de l'homme à lunettes un livre, il reconnaît à la couverture l'Attrappe Coeur de J.D Salinger, il tiqua alors pourquoi l'homme fixait la section de la littérature du XXème siècle quand il la parcourait, le livre devait avoir une importance particulière à ses yeux.

Sur le chemin du retour, Maxwell est dans un profond état de choc, il est complètement dépassé par la violence de la situation qu'il avait vécu. Toute cette journée n'aura été pour lui qu'une succession de hasards et de choix qui l'avait mené à rencontrer deux fois dans la même journée l'assassin de John Lennon, avant et juste après son meurtre, les cris de Yoko Ono résonnant encore dans ses pensées. Il se dit l'espace d'un instant que s'il avait été plus attentif ou qu'il l'avait abordé, il aurait peut-être pu prévoir une telle situation.  Il erra troublé jusqu'à son appartement, pris dans le flux continuel de pensée que ce hasard malheureux avait provoqué chez lui.

Fin de l'histoire

Retour à l'acceuil : ICI

 

2 septembre 2011

Rencontre et décès

Lorsqu'il s'avance dans l'ombre, il comprend que l'une des deux silhouettes est un portier du Dakota Hotel se tenant debout, on reconnaît facilement la casquette caractéristique d'un rouge vif que tous les employés portent. Il attrape l'autre homme par le col de son manteau et le traîne jusqu'au trottoir, apparemment hors de lui, le poussant à s'assoir. Celui-ci s'éxécute tout en retirant son manteau et son chapeau. On entend une femme pleurer à l'intérieur de l'arche du Dakota Hotel, le portier retourne dans l'arche et semble parler avec deux personnes, puis ressort une arme à la main, qu'il pointe sur l'homme. Le portier lui crie alors "Tu sais ce que tu as fait?". Ce à quoi lui répond le jeune homme calmement, sans un haussement de ton "Oui j'ai tué John Lennon."

Maxwell se fige contre les barreaux de Central Park, réalisant à peine ce que l'homme venait de dire. Complètement hagard, il finit par s'avancer vers le portier, attiré par le surréalisme de la situation. En se rapprochant, il fixe la silhouette de la personne assise longuement jusqu'au moment où des sirènes de police retentissent au coin de la rue. Une patrouille de police arrive en trombe et fonce vers l'entrée du Dakota Hotel. Un des policiers ressort de l'arche et pointe également son arme vers l'homme assis. Sous l'arche, on entend la femme pleurer et supplier d'aider son mari, c'est à ce moment que Maxwell reconnaît la voix qu'il entend. Il était maintenant sûr, c'était la voix de Yoko Ono il ne l'avait pas reconnu car celle-ci était déformée par la peur et la tristesse, mais il l'avait entendu plus tôt, quand elle appelait son mari. On entendit alors les portes claquer et la voiture démarrer en trombe, Pendant ce temps, le second policier discute avec le portier, et me voit arriver au loin.

Maxwell ne remarque même pas qu'il est repéré et continue à s'avancer en fixant l'homme assis. Maxwell avait devant lui l'homme qui avait tiré sur John Lennon, il avait par un hasard complètement impensable rencontré l'artiste pour la première fois le jour même. Le policier l'interpelle alors, l'ordonnant de rester où il se trouve, que la situation actuelle est dangereuse, l'obligeant à partir des lieux. Maxwell s'éxécute complètement absent et sans répondre un mot. Juste avant de se retourner, il remarque dans la main de l'homme à lunettes un livre, il reconnaît à la couverture l'Attrappe Coeur de J.D Salinger.

Sur le chemin du retour, Maxwell est dans un profond état de choc, il est complètement dépassé par la violence de la situation qu'il avait vécu. Toute cette journée n'aura été pour lui qu'une succession de hasards et de choix qui l'avait mené à rencontrer dans la même journée John Lennon et se retrouver par hasard sur les lieux de son assassinat, les cris de Yoko Ono résonnant encore dans ses pensées, se mêlant au souvenir de la poignée de main et du sourire qu'il avait eu du compositeur peu de temps avant. Il erra absent jusqu'à son appartement, plongé dans un profond désespoir.

Fin de l'histoire

Lien de l'acceuil : ICI

1 septembre 2011

Quels étaient les chances?

Lorsqu'il s'avance dans l'ombre, il comprend que l'une des deux silhouettes est un portier du Dakota Hotel se tenant debout, on reconnaît facilement la casquette caractéristique d'un rouge vif que tous les employés portent. Il attrape l'autre homme par le col de son manteau et le traîne jusqu'au trottoir, apparemment hors de lui, le poussant à s'assoir. Celui-ci s'éxécute tout en retirant son manteau et son chapeau. On entend une femme pleurer à l'intérieur de l'arche du Dakota Hotel, le portier retourne dans l'arche et semble parler avec deux personnes, puis ressort une arme à la main, qu'il pointe sur l'homme. Le portier lui crie alors "Tu sais ce que tu as fait?". Ce à quoi lui répond le jeune homme calmement, sans un haussement de ton "Oui j'ai tué John Lennon."

Maxwell se fige contre les barreaux de Central Park, réalisant à peine ce que l'homme venait de dire. Complètement hagard, il finit par s'avancer vers le portier, attiré par le surréalisme de la situation. En se rapprochant, les contours de la silhouette de la personne assise se précisent et il semble tout à coup reconnaître l'homme assis lorsque des sirènes de police retentissent au coin de la rue. Une patrouille de police arrive en trombe et fonce vers l'entrée du Dakota Hotel. Un des policiers ressort de l'arche et pointe également son arme vers l'homme assis. Sous l'arche, on entend la femme pleurer et supplier d'aider son mari, c'est à ce moment que Maxwell reconnaît la voix qu'il entend. Il était maintenant sûr, c'était la voix de Yoko Ono il ne l'avait pas reconnu car celle-ci était déformée par la peur et la tristesse, mais il l'avait entendu plus tôt, quand elle appelait son mari. On entendit alors les portes claquer et la voiture démarrer en trombe, Pendant ce temps, le second policier discute avec le portier, et me voit arriver au loin.

Maxwell ne remarque même pas qu'il est repéré et continue à s'avancer en fixant l'homme assis. Maxwell reconnaît enfin les montures épaisses et les verres teintés de l'homme qu'il avait croisé à la librairie plus tôt dans la journée. Le policier l'interpelle alors, l'ordonnant de rester où il se trouve, que la situation actuelle est dangereuse, l'obligeant à partir des lieux. Maxwell s'éxécute complètement absent et sans répondre un mot. Juste avant de se retourner, il remarque dans la main de l'homme à lunettes un livre, il reconnaît à la couverture l'Attrappe Coeur de J.D Salinger.

Sur le chemin du retour, Maxwell est presque dans un état catatonique, il est complètement dépassé par la violence de la situation qu'il avait vécu. Toute cette journée n'aura été pour lui qu'une succession de hasards et de choix qui l'avait mené à rencontrer dans la même journée à la fois John Lennon et son assassin avant qu'il commette son crime, les cris de Yoko Ono résonnant encore dans ses pensées, se mêlant au souvenir de la poignée de main et du sourire qu'il avait eu du compositeur peu de temps avant. Il réalisait qu'il devait être la seule personne à avoir vécu l'évènement de cette façon, comme s'il avait avait gagné à la pire loterie de l'histoire. Il réalisait qu'il aurait pu être la seule personne à comprendre cet évènement tragique et l'empêcher s'il en avait eu conscience. Cette pensée le plongea dans une profonde isolation et tristesse.

Fin de l'histoire

Lien de l'acceuil : ICI

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1 août 2011

Odeon Dinner

Après s'être délecté d'une entrecôte accompagnée de frites, il se dit qu'une petite ballade accompagnée d'une cigarette ne lui ferait pas de mal, il referme sa veste, tire une fois sur sa cigarette, et tourne à l'intersection de la 71ème et de la 8th Avenue, pour longer Central Park sur le retour. Il aime bien passer par ici car on peut sentir l'odeur de la végétation et l'humidité qui s'en dégage, même si le coin est plutôt dangereux la nuit. L'Upper West side paraissait plutôt calme ce soir là quand il entendit au carrefour suivant une série de coups de feux suivis de détonations. Ne réalisant pas au premier abord, il comprend que des coups de feux sont tirés, et se met dans l'ombre des grands arbres de Central Park, se collant aux larges barreaux délimitant le parc. Il décide néanmoins d'aller voir discrètement si personne n'est blessé. Il aperçoit alors deux silhouettes au loin devant le Dakota Hotel.

 

Si vous avez croisé John ET l'homme aux lunettes teintées : ICI

Si vous n'avez rencontré que John : ICI

Si vous avez rencontré que l'homme aux lunettes teintées : ICI

3 juillet 2011

Pizzeria de Mario sans Kinney sans John

Maxwell regarde Kinney avec un sourire, lui caresse le dos avant de s'habiller et descendre seul dans la rue. Il se décide à repasser à la pizzeria de Mario. Il avait déjà mangé une pizza hier, mais avec le froid mordant des soirées new yorkaises, il se souvenait des pizzas qu'il n'avait pas choisi la veille et se disait qu'une part chaude et coulante de fromage lui aiderait à supporter a rigueur de l'hiver. Il se dit qu'il aurait pu prendre Kinney avec lui et qu'il aurait pu vérifier tous ces marquages laissés autour du block. Une fois arrivé sur place, Maxwell commande sa pizza en restant dehors, puis s'allume une cigarette et la fume en regardant le ciel. Il fait quelques allers retours assez larges autour de la pizzeria, pour se réchauffer tout en vérifiant de temps en temps sa commande au travers de la devanture de la pizzeria. 

Il s'arrête devant le magasin de téléviseur de West End Avenue, remarque qu'un bulletin spécial est en train d'être diffusé, on a apparemment attendu une série de 5 coups de feu à côté du Dakota Building. Il réalise alors qu'il aurait pu tout aussi bien aller manger à l'Odeon ce soir, et qu'il aurait été peut-être pris dans une fusillade si ça avait été le cas.

Il passa récupérer sa pizza à Mario, l'air un peu hagard, et se dirigea vers sa maison, perturbé par la nouvelle, il se demandait si les coups de feux avaient pu faire des blessés, il regarderait la TV demain.


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2 juillet 2011

Pizzeria de Mario sans Kinney

Maxwell regarde Kinney avec un sourire, lui caresse le dos avant de s'habiller et descendre seul dans la rue. Il se décide à repasser à la pizzeria de Mario. Il avait déjà mangé une pizza hier, mais avec le froid mordant des soirées new yorkaises, il se souvenait des pizzas qu'il n'avait pas choisi la veille et se disait qu'une part chaude et coulante de fromage lui aiderait à supporter a rigueur de l'hiver. Il se dit qu'il aurait pu prendre Kinney avec lui et qu'il aurait pu vérifier tous ces marquages laissés autour du block. Une fois arrivé sur place, Maxwell commande sa pizza en restant dehors, puis s'allume une cigarette et la fume en regardant le ciel. Il repense alors à sa rencontre avec John plus tôt, il s'imagine quelle journée la célébrité avait du avoir et dans quelle situation mentale Maxwell serait s'il était à sa place. Il a néanmoins été touché par sa prestance et sa simplicité, et il était heureux d'avoir pu avoir la chance de lui serrer la main.

Il fait quelques allers retours assez larges autour de la pizzeria, pour se réchauffer tout en vérifiant de temps en temps sa commande au travers de la devanture de la pizzeria. 

Il s'arrête devant le magasin de téléviseur de West End Avenue, remarque qu'un bulletin spécial est en train d'être diffusé, on a apparemment attendu une série de 5 coups de feu à côté du Dakota Building. Il réalise alors qu'il aurait pu tout aussi bien aller manger à l'Odeon ce soir, et qu'il aurait été peut-être pris dans une fusillade sur le chemin du retour si ça avait été le cas.

Il passa récupérer sa pizza à Mario, l'air un peu hagard, et se dirigea vers sa maison, perturbé par la nouvelle, il se demandait si les coups de feux avaient pu faire des blessés, il regarderait la TV demain.

 

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1 juillet 2011

Pizzeria de Mario

Maxwell regarde Kinney avec un sourire, et fait signe de la tête vers l'endroit où il pose la laisse. Le chien se met alors à aboyer et à tourner sur lui même, tout heureux, et colle son corps contre la porte d'entrée. Il descend dans la rue et se décide à repasser à la pizzeria de Mario. Il avait déjà mangé une pizza hier, mais avec le froid mordant des soirées new yorkaises, il se souvenait des pizzas qu'il n'avait pas choisi la veille et se disait qu'une part chaude et coulante de fromage lui aiderait à supporter a rigueur de l'hiver. Kinney le suivait tout fier, heureux que son maître se décide enfin à l'amener vérifier tous ces marquages laissé autour du block. Une fois arrivé sur place, Maxwell commande sa pizza en restant dehors, puis s'allume une cigarette et la fume en regardant Kinney. Il fait quelques allers retours assez larges autour de la pizzeria, pour satisfaire Kinney tout en vérifiant de temps en temps sa commande au travers de la devanture de la pizzeria. 

Il s'arrête devant le magasin de téléviseur de West End Avenue, remarque qu'un bulletin spécial est en train d'être diffusé, on a apparemment attendu une série de 5 coups de feu à côté du Dakota Building. Il regarde son chien, remuant la queue, impatient de continuer sa balade. Il se dit alors qu'il aurait pu tout aussi bien se retrouver au mauvais endroit au mauvais moment, s'il n'avait pas choisi d'aller promener Kinney le soir plutôt que le matin.

Il passa récupérer sa pizza à Mario, l'air un peu hagard, et se dirigea vers sa maison, perturbé par la nouvelle, il se demandait si les coups de feux avaient pu faire des blessés, il regarderait la TV demain.

Fin de l'histoire

Lien de l'acceuil : ICI

3 juin 2011

AppleBaum Sandwiches sans Kinney et sans John

Maxwell regarde Kinney avec un sourire, lui caresse le dos avant de s'habiller et descendre seul dans la rue. Il se laisse tenter par le snack le plus proche, il a l'habitude de passer par là quand il va au travail, et c'est le seul snack du coin où il avait confiance en la qualité de la nourriture, et il avait déjà mangé des pizzas hier. Il traverse ainsi le quartier d'Hell's Kitchen, passant devant les snacks miteux du quartier. Il regarde avec compassion l'homme sandwich d'Applebaum qui doit faire venir les clients dans le froid avec son costume ridicule, le salue d'une main en passant et entre dans la sandwicherie.

L'odeur de viande grillée et de friture lui envahit les narines, éveillant son appétit. Même s'il ne payait pas de mine, ce restaurant avait un charme de petite entreprise familiale, qui fonctionnait tout autant pour les proches des patrons qui venaient y manger tous les jours que pour les réels clients. Une ambiance de cantine d'école y régnait souvent, on entendait les patrons rire avec leurs amis et sortir de la cuisine pour s'assoir avec eux au moins aussi longtemps qu'ils étaient aux fourneaux. Il connaissait Maxwell et aimait bien donner un os à Kinney qui restait en cuisine, pour son plus grand bonheur.

Il commande au patron qui le reconnaît immédiatement, il s'étonne de voir que Kinney n'est pas là aujourd'hui, et propose de lui emballer un os qui traine en cuisine pour lui ramener. Maxwell le remercie et prend sa commande. Une fois assis à table avec son sandwich, il regarde par la fenêtre la mascotte qui essaie tant bien que mal de faire venir des gens, on peut entendre la patron qui se moque de lui de temps à autres, s'amusant de l'allure qu'il a, même si à chaque fois il précise que qu'aussi moche soit le costume, les clients venaient effectivement plus nombreux et que c'est ce qui comptait. Maxwell connaissait la rengaine qu'il entendait presque à chaque fois qu'il venait mais qui l'amusait toujours au point de parfois finir sa phrase dans son coin. Il repensa alors à l'attroupement qu'il avait vu plus tôt, se disant qu'il aurait peut être du aller voir, car sa curiosité le taraudait maintenant.

Une fois son repas terminé, il remercia une dernière fois le patron et se dirigea pensif chez lui, encore une petite journée tranquille à New York.

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